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Robert The President
4 octobre 2008

GRAND OLE OPRY

OPRYLAND : Un complexe à la démesure américaine !

30_nashville_grand_ole_opryC'est d'abord un hôtel gigantesque entièrement recouvert de verrières où prospère une végétation luxuriante dans une atmosphère climatisée. Chambres d'hôtel, bungalows et galeries commerciales sont dispersées dans cette véritable forêt équatoriale où les employés se déplacent en karts de golf.
Et au milieu trône un immense kiosque rotatif...
Il y a ensuite le parc OPRYLAND uniquement dédié à la musique : nous sommes à Nashville tout de même ! Une vingtaine de théâtres représentent la musique américaine dans sa diversité : "Country", "Cajun", "Bluegrass", etc.
Il y a enfin le "GRAND OLE OPRY" assurément la plus grande salle "Country Music" du monde, au moins 8000 places qui, en un mur vertigineux, font face à une scène gigantesque.
 
Chet m'avait offert deux places pour le "GRAND OLE OPRY" avec une recommandation.
Une ouvreuse nous a placé au troisième rang et nous avons cru comprendre qu'elle viendrait nous chercher à l'entracte pour nous amener "backstage". Mais pourquoi diable voulait-elle nous amener derrière la scène !?!
Le spectacle était découpé en sets d'une vingtaine de minutes où des groupes différents se succédaient. Cela donnait un côté dynamique et varié au concert.
 
A l'entracte, elle est bien revenue, nous a fait visiter les loges en nous présentant aux musiciens comme les amis français de Mr. ATKINS et a fini par nous installer dans des fauteuils moelleux situés au fond de la scène...
C'est de cet endroit privilégié que nous avons dégusté la deuxième partie du spectacle.
Les différents groupes, en s'installant, venaient nous saluer et nous pouvions leur demander d'interpréter un titre qu'ils nous dédiaient...
Voilà ce que voulait dire "backstage". Ils sont givrés ces ricains mais quelle belle expérience.

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Commentaires
Robert The President
  • Adolescent, je suis tombé en amour avec Dame Guitare. En retour, elle m'a apporté joie et bonheur. Aujourd'hui que les clameurs se sont tues, j'ai eu envie de raconter cette belle histoire à mes petits-enfants, et rendre hommage à Chet et à Marcel.
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